Les couloirs somptueux du manoir datent, comme on peut aisément s’en douter, de la création du manoir. De part et d’autre, des portes mènent à des salles, souvent d’anciennes chambres. Sur le sol s’étend un riche tapis et les murs sont rongés par de somptueuses boiseries finement sculptées. Autrefois, il y avait des bustes mais le directeur a jugé bon de les retirer afin que ces statues gardent la tête sur les épaules.

La bibliothèque est restée telle qu’elle était à l’époque. Sur les murs s’affichent certains tableaux commandés autrefois par un vieux propriétaire. Les étagères sont faites d’un bois solide et recouvertes des bouquins de l’époque, même si l’on a jugé bon de rajouter quelques nouveaux bouquins afin d’approfondir la connaissance et les recherches de chacun. Quelques longues tables sont disposées ici et là dans le but de pouvoir étudier dans le calme et la tranquillité.

L’infirmerie, ça pue l’hôpital. En même temps, c’est le but, soigner les malades et ceux qui pensent l’être. Dans une armoire fermée à double tour et dont la clef est gardée précieusement par l’infirmière. Il y a deux lits, qu’un rideau sépare, que l’infirmière se débrouille pour faire de son mieux.

Les toilettes. Comme si elles nécessitaient un dessin. Les toilettes sont mixtes et, en général, on s’y fait. Elles disposent d’une rangée de cabines ainsi qu’une rangée d’urinoirs. Dans le fond de la pièce, un évier, un distributeur à savon ainsi qu’un distributeur de papiers main. Sous l’évier, une poubelle.