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 Kieran Levinson

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Yoru Kurotsuki
Yoru Kurotsuki

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MessageSujet: Kieran Levinson 
Kieran Levinson Icon_minitimeMer 7 Jan - 18:41

Kieran Levinson
Feat. Sebastian Michaelis - Kuroshitsuji.


 

 
Carte d'identité

Âge: 35 ans
Date de n.: 28 juin
Sexe: Masculin
Sexualité: Hétérosexuel
Profession: Professeur de français
 

Taille ▬ 1m84
Poids ▬ 80kg
Couleur d'yeux ▬ Grenat
Couleur de cheveux ▬ Noir
Intolérances, allergies ▬ Aucune
Signes distinctifs ▬ Son paquet de Mild Seven et sa montre de gousset Girard-Perregaux, toujours dans ses poches.

 


 
Caractère

Calme, discret et assez silencieux sur les bords, ce n'est pas un homme très bavard qui préfère de loin le calme et la sérénité des lieux déserts que la foule en elle-même. Pourtant, cette dernière ne la gêne aucunement et étrangement, il arriverait même à la gérer sans problèmes. Sûrement une préférence, de loin la meilleure? Très réfléchi, il prend le temps d'analyser la situation dans ses moindres détails avant de se lancer dans des idées ou des actes irréprochables. Au tout premier abord innocent, candide et sans réels pensées tordues, il a évolué avec beaucoup de difficulté, le monde qui l'entourait était si dangereux et défavorable à la douceur et la clémence, que même si une partie de lui-même est restée douce et attentionnée, une autre en lui s'est éveillée malsaine et profiteuse.

Kieran n'est pas quelqu'un de méchant, il l'est par la force des choses. Avant tout, il aime le contact utile et intelligent, il aime la conversation construite et aboutie, ainsi que les personnes ayant un minimum de considération pour son travail. Généralement inquiet pour autrui, au fur et à mesure du temps il est devenu un peu las de tout cela, plutôt préoccupé par sa propre existence que par celle des autres, forgé dans un métal dur et froid, alors que ses intentions de base n'étaient pas de cette trempe.
Pour ce qui est de ce que nous appellerons vulgairement son mauvais côté, mais qui, je pense, est propre à tout être vivant, ce sont ses penchants pour la manipulation et les faux sourires. L'hypocrisie, quoiqu'il la hait fermement, il n'hésite pas à l'utiliser de façon à avoir ce qu'il désire sans se préoccuper de blesser la personne – si cette dernière n'en vaut pas la peine. Sournois, quelques peu sadique lorsqu'il va jusqu'au bout de ses mauvaises intentions, il préfère être assez franc quitte à blesser plutôt que de mentir. Chose qui est paradoxale dans ses faits car il est même capable de mentir lorsqu'il s'agit d'atteindre son but. Perfectionniste, soucieux de sa personne, il est conscient de sa beauté et de son charisme naturel et il n'hésite pas à l'utiliser pour charmer. En tout cas, il n'a aucun scrupule.

Cependant, même avec tous ces défauts qui ne cessent d'envahir sa liste, c'est quelqu'un de très gentil et d'adorable lorsqu'on prend le temps de discuter avec lui. Même s'il est assez méfiant, il prend vite confiance lorsqu'on lui donne sa chance et en profite même pour être très généreux et protecteur. Autant dire que meilleur professeur, il n'y a pas, puisqu'il n'hésite pas à s'investir entièrement pour ses élèves, jusqu'à même empiéter sur sa vie personnelle. Quoique ses sourires soient souvent faux, ses vrais n'en sont que preuves de confiance et de réjouissance totale, même s'ils sont très rares.
Par contre si par malheur sa colère venait à se déclencher, elle sera pire qu'une tempête. Le seul contrôle qu'il puisse avoir dessus est de se prendre une cigarette et de fumer durant des heures, sans rien faire. Dans ces moments, il ne vaut mieux pas tenter d'aggraver la situation. Ce qui est également le cas lors de ses rares déprimes.

Tout cela pour dire que c'est quelqu'un de très intelligent qui n'agit jamais pour rien et qui a toujours une roue de secours même dans les pires situations. Cela ne veut pas dire qu'il n'a aucun point faible, car la plupart de ces derniers sont d'ordre sentimental.
Il apprécie énormément les chats, le rangement, le travail et les bonnes manières. Ses goûts penchent également pour les bonnes sucreries et le café (plus précisément cappuccino) et bien sucré, la viande saignante et la tranquillité, entre autres. Il est cependant très pointilleux sur la paresse et l'indifférence.

 


 
Histoire


Connaissez-vous la fameuse oeuvre de théâtre de Roméo et Juliette?
Bien sûr quelle question! Tout le monde est instruit des grandes oeuvres et notamment celles de Shakespeare. Vous allez me dire "qu'est-ce qu'il fait c'uila en train de me raconter des trucs que je saque pas depuis qu'on me les rabâche au collège?!", et bien je vous répondrai tout simplement qu'il est bon de connaître les plus grandes oeuvres. Car dans ce genre de situation, si vous ne connaissez même pas celle-ci, comment pourriez-vous comprendre la suite?

Enfin, je vais droit au but, et je remonte également le temps avec vous, pour arriver avant même mes origines, lorsque mes parents venaient à peine de se connaître...
Ma mère se nommait Grace Allen et mon père Laurence R. Levinson. Vous allez me dire encore "qu'est-ce que c'est que cette initiale?" eh bien tout simplement le second prénom de mon père, qui, sans vous mentir, se nommait en réalité Laurance Romeo Michaelis. N'est-il pas drôle tout cela? Bien sûr que si! Enfin, leur histoire l'était, mais peut-être un peu moins... Cela ne se passa bien entendu pas en Italie, comme la fameuse pièce, mais en Angleterre, le pays natal de notre cher écrivain.

Ma mère était née dans une famille de Comtes, descendante de grands Lords qui avait contribué assez aléatoirement au bienfait du pays, mais contrairement à ce que l'on pourrait croire sa richesse ne valait pas la stature d'une véritable famille de nobles. Bien sûr, ses parents avaient une fortune monumentale et vivaient dans plusieurs résidences du monde entier, mais lorsqu'ils surent que leur fille voulait se marier avec le fils d'une famille rivale, il la délaissèrent à son plus grand désarrois.
Mon père était un duc, le duc de Levinson qui avait par contre une stature plus élevée aux côtés de la couronne et ainsi qu'une fortune au-delà de nos espérances. L'avantage était qu'il avait servi la Reine sous le titre de chevalier, et, ayant participé à plusieurs actions militaires, avait reçu des sceaux de celle-ci. Quel bonheur n'est-il pas? Seulement voilà, dans son cas aussi tout partit un peu en vrille. Pourquoi? Eh bien, ne connaissez-vous pas cette pièce de théâtre? Oui, vous aurez deviné! Roméo rencontra Juliette...
En réalité, la famille Allen et Levinson étaient rivales au sujet de certaines actions et certains commerces, des concurrents sur le marché comme beaucoup d'autres. Recevoir les privilèges des têtes couronnées n'étaient même plus leur but commun. Barbant n'est-ce pas? Je le pense aussi!

Enfin, Grace et Laurence se rencontrèrent dans un des bals organisés par une autre des familles les plus puissantes de ce monde, et tombèrent follement amoureux. Il ne fallut que quelques mois pour que déjà leur amour se concrétisent entièrement, causant par ailleurs la haine irréprochable des seigneuries rivales. Vous l'aurez encore deviné: ils n'étaient pas encore mariés que je devais déjà montrer ma tête! Ne sachant que faire face à une telle audace, la famille Allen rejeta Grace. Pour le cas de Laurence, il n'eut qu'à la recueillir chez lui car il vivait déjà seul à ce moment-là: les hommes d'affaires! Même si la famille Levinson avait été quelque peu déboussolée, elle accepta tout de même l'histoire et laissa passer celle-ci avec pour seule condition un mariage en bonne et due forme.

À mes tous débuts, je ne fus pas élevé en Angleterre longtemps. Peut-être passèrent alors deux ou trois ans dans le plein centre-ville de Londres, avant que mon père ne soit demandé pour son travail en France. Pourquoi au France? Lorsqu'on est duc on peut tout se permettre... ou presque. Eh bien en France il avait trouvé de quoi faire le bonheur de sa femme qui se sentait si mal dans cette pauvre ville pluvieuse, mais également un travail qu'il pouvait faire en tant qu'entrepreneur.
Pendant longtemps on ne se chargea nullement de mon éducation directement. Le majordome de la maison et les différentes gouvernantes s'en occupaient, et je dus subir l'entraînement intense d'une éducation totalement aristocrate. Quelle barbe me diriez-vous, oui cela est vrai, mais à présent je ne pense pas que je pourrais les blâmer. Mes parents étaient des gens très occupés, ils n'avaient pas le temps d'avoir un petit sur leurs pattes! Et puis, ils ne rentraient jamais.
Nous partîmes donc au pays du soleil levant alors que j'avais à peine quatre ans. Là-bas, beaucoup d'événements accueillirent mes parents avec une certaine facilité et un engagement, mais il fallait savoir qu'ils commençaient déjà à tomber dans un gouffre dont ils n'en sortiraient plus. En tout cas j'en étais convaincu, lorsque plus tard je vis le résultat.

Mon père avait donc trouvé un nouveau pôle où il pouvait gérer avec professionnalisme son métier, et où la petite famille pouvait vivre sans trop de problèmes. Là-bas également, nous eûmes la chance de trouver une belle et grande maison aux alentours de Paris. Ils trouvèrent un majordome japonais et français pour compléter mon enseignement et je poursuivis mon éducation de la sorte, apprenant difficilement cette nouvelle langue totalement étrangère.
Une vie peut-être trop tranquille, trop normale. Mais j'avais déjà oublié que nous étions une famille assez importante en Angleterre, et comme toute famille importante, la nôtre ne perdit pas ses traditions : à mes six ans je fus déjà fiancé à Eléanor Allen, ou si vous préférez ma cousine. Mais c'était aussi un mariage d'arrangement afin que la famille Allen reprenne un peu plus confiance et prenne contact avec la nôtre. Bref, oui je dus me coltiner la pauvre petite Eléanor tous les jours.
Oui, vous découvrez une nouvelle chose assez subtile: je n'ai jamais eu l'envie de me marier! Comme beaucoup d'hommes à cette période, le mieux était de trouver une femme qui nous plaise. Eléanor... ne me plaisait, mais alors pas du tout!! Petite et maigre, des yeux noirs perçants et des cheveux châtains foncés, elle avait tout ce que je ne supportais pas! Habitué au sombre, au neutre, au sobre, et elle qui venait avec ses jupons roses et oranges... je croyais mourir. Enfin, plusieurs années passèrent et au moins six, avant que mes parents ne décident de retourner à Londres pour nous marier.

À cette époque, j'avais très peu d'amis, et les seuls qui restaient réellement à mes côtés étaient deux français rencontrés lors de bals mondains, du nom de Louis et Claude, deux frères qui avaient le don également de tourner à l'hilarant les plus gros problèmes qui pouvaient survenir dans ma famille. Ils étaient très utiles à ce niveau-là, j'avoue, mais pour le reste j'étais encore la tête pensante...
À onze années d'existence je fus donc marié à Eléanor Allen qui devint Eléanor Levinson, Madam Levinson, à mon plus grand malheur. Que voulez-vous, la vie était toujours dure à l'époque, mais à sa façon! Ce qui m'énervait encore plus que le fait qu'elle m'ait volé mon premier mariage, était tout simplement que tous mes biens allaient lui appartenir, et que sans façon, elle vivrait avec moi pour l'éternité: quelle horreur.

Mon enfance ne fut donc pas si chargée que cela. Il faut dire que j'avais le don d'obéir bien sagement à mes parents et que, sans rechigner, j'acceptais tous ce qu'ils me disaient, bon ou mauvais. À ces âges-là en général on ne tente pas toujours d'aller à l'encontre des plus grands, mais mon éducation était bonne et ma curiosité tout autant, ce qui fit de moi un jeune garçon dans la fleur de l'âge. Eh oui, je commençais déjà à me demander pourquoi je devais suivre toutes ces règles et ces formalités.
J'appris également que plus j'étudiais, plus ce monde et tout ce qui s'y passait devenait bien plus clairs. Je compris alors pourquoi nous étions en France, pourquoi ma mère était si mal que cela, pourquoi on m'avait forcé à épouser Eléanor, et bien entendu pourquoi l'on me mit dans ce collège spécialisé pour les enfants des "grands patrons". Car oui, on ne mélangeait pas les étudiants "normaux" avec ceux qui étaient fils de je-ne-sais-qui... et c'est peut-être le fait d'avoir rencontré mon grand professeur de français à ce moment-là que je compris tout cela, mais aussi que je commençai à aimer énormément cette langue. Cet amour venait de là.

Qui ne serait pas intéressé par un professeur qui enseignait ses passions et non pas le programme donné par le ministère de l'éducation? Je savais que vous seriez d'accord avec moi! Donc voilà, je nouai alors un lien assez fort avec lui. Premièrement, il était un passionné fou pour l'histoire et les langues, et moi de mon côté j'avais envie d'apprendre. Lorsqu'il décida de partir du collège, j'ordonnai à mes parents pour la première fois de mon existence de le nommer professeur personnel, ce qu'ils firent. Étrangement après cela, je sautai même une classe et atteignis le lycée avec une rapidité qu'il était difficile d'expliquer. J'accumulai en même temps tout le savoir dont j'avais eu besoin pour accroître mes facultés et ainsi prévoir de fuir, peu à peu, ce foyer familial étouffant.
Malheureusement, le temps me rattrapa bien vite et j'avais à peine dix-sept ans que l'entreprise de mon père fit faillite, et qu'avec beaucoup de honte il dut vendre sa société et tous les bénéfices qu'il y avait fait. Deux mois après, les problèmes s'ensuivirent avec la justice. Les huissiers frappèrent à la porte, reprenant presque tous les biens de la famille pour ne nous laisser presque rien. Ajoutez à cela que la grande famille des Levinson et celle des Allen refusa alors d'aider, et que les parents d'Eléanor décidèrent de la reprendre avec eux. Il ne fallut que quelques jours après cela, et ma mère s'empoisonna.

Désemparé et criblé de dettes, mon père ne pouvait plus s'occuper de moi, en tout cas encore moins qu'avant. Pourtant, il avait toujours gardé cette apparence sublime et une prestance sans faille que je ne pouvais jamais lui reprocher. Nous étions assez seuls à ce moment-là. Vous savez ce que c'est que de tomber aussi bas lorsqu'on est l'un des oiseaux les plus grands? Malgré cela, mon père avait toujours gardé la tête et haute et ne s'était jamais adonné à des pratiques d'alcoolémie ou de drogues, ce que je lui remercierai toujours jusqu'à la fin. Ce qui rattrapa les erreurs de mes parents furent bien entendu mon travail et ma détermination sans reproches que je manifestais chaque jour. De ce fait, je n'avais pas eu besoin d'attendre longtemps pour trouver un travail assez important dans l'entreprise qu'avait vendu mon père, gagnant de jours en jours un peu plus d'estime de la part de tout le monde. Comme le disait si bien mon père, lorsque tu es pauvre tu es seul, mais lorsque l'argent se montre, l'amour avec! À croire qu'il n'avait pas tort, car déjà les deux grandes familles décidèrent de me soutenir dans mes projets et celle d'Eléanor de me l'offrir une nouvelle fois à mon plus grand malheur.

Pendant les quelques années qui commencèrent à me rendre un peu plus important dans la famille, je dus me retrouver sous la tutelle de mon professeur qui, volontairement, avait décidé de me prendre à sa charge lorsque la police était venue au domicile que nous avions au centre-ville de Paris, une espèce d'appartement trop petit pour trois et qui contrastait clairement avec l'ancienne maison que nous avions du temps de ma mère. Je ne sus plus ce qui arrivait à mon père, mais il avait été jugé incapable de s'occuper de moi, et une fois que je fus séparé de lui, je dus attendre l'âge de la majorité, vingt ans, pour pouvoir le revoir dans une vieille bâtisse que lui avaient passé les huissiers en échange. De mon côté, j'avais amassé assez d'argent, et, convaincu qu'il lui aurait fallu un meilleur avenir et un lieu où il pouvait encore me regarder de haut, je décidai alors de partir avec lui pour Londres, notre terre natale.

C'est un père en larmes qui arriva là-bas, mais c'est aussi un homme qui avait beaucoup souffert qui retrouva ses racines. Nous reprîmes le manoir, il s'y installa de nouveau, et je l'aidai pour un bon moment à reprendre les affaires. À Londres, tout fut étrangement bien plus facile, et, connaissant les personnes qui se trouvaient en Angleterre, il put étendre de nouveau son influence. Lorsque tout repartit, il n'eut plus besoin de moi et je décidai alors de le laisser pour faire ce que j'avais toujours rêvé faire : le tour du monde! En réalité je n'eus fait que peu de pays comparé à beaucoup de personnes, mais c'est comme cela que je me perfectionnai dans quatre d'entre elles, puis par la suite que j'en commençai deux autres. Les quatre premières qui étaient l'anglais, le français, l'espagnol et l'allemand me permirent de pouvoir atteindre d'innombrables postes au cour de mes quelques années premières d'adulte. J'appris le chinois et le japonais pour gagner en estime et bien entendu des postes plus importants. Entre directeur de langues, maître de conférence et même ambassadeur, les postes se firent nombreux, les acceptant et refusant à tour de rôle.

Quand je revins en France, j'avais vingt-six ans. Là, je fus également accueilli comme si j'avais quitté ces terres toute ma vie, mais aussi comme si j'étais un de leur enfant les plus chers. Eléanor revint me coller aux fesses, et je dus me la coltiner au moins six mois, jusqu'à ce qu'elle s'ennuie de moi. Je ne rentrais jamais le soir et allais voir ailleurs si je le pouvais. Pour moi, c'était la seule preuve à donner pour qu'elle s'en aille, cette fille qui n'était pas devenue femme et qui était restée dans son monde rose et enfantin. Pourtant, cela ne la fit pas reculer, et au lieu de s'en aller avec ses valises, elle resta accroché à moi de plus bel, se lamentant chaque jour de mes faits et gestes.
Autant vous dire qu'un mois plus tard je lui avais annoncé le divorce, et que, sous cette dépression dont elle n'avait pas résisté, elle décida de mettre fin à ses jours. Oui, je vous connais, vous aimez les gentils vous, n'est-il pas? Vous allez dire "c'est méchant, t'es trop méchant monsieur! Super sadique quoi!", mais je n'irai pas m'étaler dessus.
Malheureusement, je fus puni, et la même année mon professeur tant adoré mourut dans un accident de voiture. Je ne pense pas avoir eu la volonté de pleurer, et je crois que je ne l'ai jamais fait, mais il était vrai que je m'étais senti soudainement plus seul et que mon coeur était devenu un peu plus noir et lourd.

Enfin, toujours est-il que cette partie-là s'est terminée en beauté. Je ne me suis jamais remarié, car les aventures avaient été très courtes et bien entendu lassantes. Je suis retourné à Londres tout de même. Oui, oui, j'ai toujours des liens avec mon père! Il est d'ailleurs très âgé à présent mais il garde toujours autant de classe. Eh oui, ce sont les hommes de la famille Levinson que voulez-vous? Mais je ne suis pas revenu pour simplement lui dire bonjour, je suis même allé à la cour, et ait lamentablement renoncé à mon titre de duché, ainsi qu'à ma fortune héréditaire.
Pour tout vous dire, je trouvai une nouvelle fois bien vite du travail et des conquêtes, lesquelles n'étaient jamais concrétisées bien entendu. Qui oserait s'adonner à un homme qui ne fait que profiter de soi? La liste de mes travaux s'est accumulée bien vite et ma sévérité autant que l'efficacité de celle-ci reconnue partout.

Au final, une demande de poste en tant que professeur de langues – français surtout – m'a été envoyée il y a de cela quelques années, et me voici aujourd'hui en train de vous raconter mes passionnantes histoires.
J'ai quand même résumé un peu, car comme je suis un professeur, vous n'avez pas à savoir cela! D'ailleurs, que diriez-vous de retourner à vos leçons pendant que vous y êtes? Je me chargerai personnellement de vous et de votre éducation, et c'est avec plaisir que je ferai tout pour que vous passiez cette année, ainsi que toutes les autres!

Oh mais qu'entends-je? Des cris désespérés et des pleurs profonds? Ne vous inquiétez pas, je serai aimable avec vous!

 


 
Dernier mot?
Âge ▬ 24
D'où tu viens ? ▬ De loin
Comment t'es arrivé là ? ▬ hahaha
Et le code magique ? ▬ Mangé Piggy
Blablation ? ▬ Pouette cacahuète.
 


 
 

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Marwin Jefferson
Marwin Jefferson

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MessageSujet: Re: Kieran Levinson 
Kieran Levinson Icon_minitimeMer 7 Jan - 19:18



Bravo, tu es validé !

Te voilà validé, prêt à RP parmi nous !

Te voilà professeur d'anglais, en charge de pas mal de classes. Tu peux d'ores et déjà aller découvrir ton emploi du temps ici !
N'oublie pas d'aller recenser ton avatar juste dans ce topic.

Tu peux également aller faire ta fiche de liens, te lancer dans la grande aventure de la chronologie.

N'hésite pas non plus à venir consulter les nouveautés, toujours affichées sur la PA et détaillées juste ici.

   
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Kieran Levinson

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