La grand-rue |
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| Qu’ils soient de vêtements, de chaussures, d’alimentation, de musique ou même de décorations, les magasins sont ce qu’ils sont. Des magasins. Des choses à vendre, des vendeurs et vendeuses souriants, parfois un rien trop collants. Chaque boutique a une disposition particulière pour ses rayonnages, la place de la caisse enregistreuse, l’arrière-boutique. Des murs aux couleurs changeantes, des musiques différentes.
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| Le Renard. Un nom tentant, attirant. Il appâte, rusé, comme le ferait l’animal roux. Pourtant, quand on jette un coup d’œil à la carte, affichée dans une petite vitrine sale devant l’entrée, on se rend compte de la pauvreté du menu. Pas un restaurant quatre étoiles, des plats basiques. Une fois la porte ouverte, l’impression se confirme. Quelques tables, une lumière sombre. Rien de bien folichon. C’est même plus miteux qu’autre chose.
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| Les maisons sont faites en épaisses pierres sombres, à la mode des petits villages typiquement anglais. Elles possèdent un toit pointu, des cheminées. L’intérieur est étroit mais n’en reste pas moins confortable. L’entrée se faire par une porte en bois, épaisse également. Aucun intérieur ne se ressemble, à cause des goûts différents des propriétaires.
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| Les ruelles sont sombres, généralement peu éclairées. Elles s’enfoncent vers les différents recoins du village, mènent à d’autres petites maisons ou vers la lande. Certaines sont plus étroites que d’autres, parfois moins bien entretenues. D’autres sont plus dégagées, plus fleuries. Tout dépend des habitants.
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