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 With shadows floating over. The scars begin to fade - William.

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Anonymous


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MessageSujet: With shadows floating over. The scars begin to fade - William. 
With shadows floating over. The scars begin to fade - William. Icon_minitimeLun 19 Jan - 18:18

William Moore.
Feat. Akashi Seijuro - Kuroko no basket.




Carte d'identité
Âge: 17 ans.
Date de n.: 12 Août 1996.
Sexe: Boys Power.
Sexualité: Pansexuel.
Profession: Étudiant.

Taille ▬ 175 cm.
Poids ▬ 68 kilos.
Couleur d'yeux ▬ Ses iris sont de couleur marrons à l'état naturel, il porte cependant des lentilles ; l'oeil droit rouge & gauche doré.
Couleur de cheveux ▬ Roux assez vif.
Intolérances, allergies ▬ Rien en particulier.
Signes distinctifs ▬ Ses lentilles.



Caractère
381 mots - Cuz I don't have a reason. And you don't have the time.


Tu n’as jamais été très bavard. Depuis ton plus jeune âge, tu es d’une nature assez taciturne. Tu n’as pas besoin de partager ce que tu ressens, car clairement ça t’importe peu ce que les autres pensent et tu n’y accordes aucune attention. Façade glaciale, certains diront, tu ne fais que repousser l’intrus qui oserait tenter de toucher du doigt ta personne. Et rarement, lorsque tu te sens dans l’obligation de t’exprimer, tu es direct, pas de phrases mielleuses. Jamais. Tes objectifs sont déjà clairement prédéfinis avant même que tu ne t’engages dans n’importe quel choix, réfléchi comme tu es, tu ne fonceras donc jamais tête baissée dans le danger.

Tu n’as pas vraiment d’amis. Ton caractère à lui seul t’empêche de nouer une quelconque amitié, tu en es bien conscient. Cependant, il reste que certains individus comptent plus que d’autres pour toi et autant dire que ton père, celui à qui tu avais promis, est l’être le plus cher à tes yeux à ce jour. Généralement, tu évites de trop y penser car cela pourrait te déstabiliser. Même, tu n’éprouves pas le moindre besoin d’en parler, car de toute façon, personne ne comprendrait. Tous ne feraient que te juger. Cruellement. Mais n’es-tu pas le plus cruel au fond ? Alors que tu te caches derrière ce masque, toi-même tu n’hésites pas à te laisser charmer par l’hypocrisie humaine, la naïveté des passants.

Parmi tes camarades, tu as su pourtant bâtir quelques fausses amitiés. Tu en étais sûr, ça n’allait pas durer et il fallait bien que tout ceci se brise, un jour ou l’autre. Tu restes souvent étonné par le comportement de certaines de tes connaissances, qui se brisent à la moindre nouvelle, pour toi, intouchable, c’est un monde inconnu. Puis, dans tout ce tas il y a Daniel, tu ne sais que penser de lui, à part qu’il apprend vite et que sa rage dépasse tout entendement, tu ne le crains pas vraiment, enfin pas tout le temps, tu lui avais déjà donné une leçon, et toutes les mascarades sont des ruses. Se méfier de lui est d’une importance capitale, il a beau être réticent, il semble bien plus dangereux qu’il n’en a l’air. Parce qu’il est clair qu’il reste le seul à t’avoir cerné et ça, c’est effrayant.


Histoire
649 mots  -  You’re not really that strong, so you’ll always run.


Ta vie était d’une banalité extrême.
Jeune enfant, tu n’avais pas goût aux jeux auxquels s’adonnaient les autres. Tu exprimais le manque maternel par l'évasion. Tu préférais t’échapper, usant de ton imagination, loin. Tu ne créais pas un monde, non. Tu créais des histoires, des personnages, des scénarios et cela t’amusait. Les autres ne pouvaient pas comprendre et tu ne cherchais même pas à leur expliquer, c’était ton petit jardin à toi. Personne à part toi n’y avait accès, et personne ne contrôlait ce lieu à ta place. Tu dessinais, du moins tu apprenais très doucement à user d’un crayon, esquisser tes personnages était si fascinant que tu pouvais rester des heures à le faire. Parfois même jusqu'à en oublier de te nourrir, ce qui te vaudra plus tard une gifle.

Nuits glaciales de Londres.

Tu étais seul. Et ta haine était étouffante. Tu n’étais pas comme eux, non, toi tu préférais rester à l’écart. Tu ne souhaitais pas devenir comme eux,  tu ne voulais que tenir ta promesse. Et ton rôle était bien trop lourd à porter pour que tu y arrives à toi seul. Tu vivais aux côtés de ton père, et pour toi, chaque jour il était obligatoire que tu t’entraines afin de te perfectionner au hand-to-hand, c’était un militaire après tout. Malheureusement, ce dernier avait beaucoup d’ennemis, des gens qui n’appréciaient guère sa droiture. Tu étais trop jeune pour comprendre, tu te souviens uniquement de la nuit ou tout a brûlé. Après la destruction totale de ce que tu qualifiais comme ton chez-toi, tu te retrouvas tels les réfugiés qui sont obligés de demander leur ration de nourriture chaque jour afin de survivre. Jeune et encore les idées floues, tu n’auras pas vraiment d’autres souvenirs que celui ancré en toi à jamais, celui de ton père t’implorant de détruire ta confiance en les êtres humains avant de périr.

Tu avais vu l’enfer. De tes propres yeux. A ce moment précis. Alors que tu avais choisi de rejoindre des Brigades d’entrainement, tu n’avais qu’un seul but en tête. Un seul et unique but, rejoindre les forces spéciales et être comme lui. Mais tu te heurtas à la dure réalité des faits, tu étais trop jeune, mineur et la seule et unique chose que tu pouvais espérer à cet instant était qu’on ne t’oblige pas à aller en famille d’accueil. Daniel fut l’une des premières personnes à t’adresser la parole lorsque tu fus admis en orphelinat. Tu estimais l’importance de rester unis, et à cette époque tout allait commencer de nouveau. Deux ans plus tard, tu n’avais pas vraiment d’amis. Tu étais toujours aussi seul. Tu observas Daniel, te narguer pendant l’un de vos cours, et surtout parce que ses camarades lui demandaient de t’affronter. Tu n’as pas eu grand mal à le faire valser au loin. Le laissant stupéfait, par ta technique. Celle de ton père. A ta grande surprise, il te questionna sur celle-ci, et vaguement tu répondis que c’était bien grâce à ton père. Pour la première fois, tu semblais lire en lui de l’admiration. Même si son âme était du genre à opter pour la honte. Et il se décida à s’intéresser à ta personne, encore plus, curieusement.

Mais toi, tu ne l’appréciais guère. Il t’effrayait, plus il en savait plus tu le craignais.  
C’est un peu le résumé de ta vie sociale. Tu avais, as, du mal à juger les gens. Tu ne voulais faire confiance à personne. Le reste, un tas de connaissances qui au fil des années finirent toutes par disparaître laissant place à d’autres. A chaque fois, selon ta classe, tes activités, d’autres visages, et voilà, tu finissais par avoir des amitiés éphémères.
Puis il y eut ce petit couple qui cherchait un jeune homme. Pas vraiment un fils, juste une aide. Ils habitaient à la campagne, c’était un peu ta chance, la seule de t’éloigner de Londres, de rejoindre une nouvelle institution, Wentworth disaient-ils ? Ça importait peu. Tant que tu pouvais être ailleurs qu’ici, la paix est si rare.




Dernier mot?
Âge ▬ 22 ans.
D'où tu viens ? ▬ Planète terre.
Comment t'es arrivé là ? ▬ Le monde merveilleux des top sites.
Et le code magique ? ▬ Prout !
Blablation ? ▬ Sherlock ? où ça ?



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Invité
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MessageSujet: Re: With shadows floating over. The scars begin to fade - William. 
With shadows floating over. The scars begin to fade - William. Icon_minitimeLun 19 Jan - 19:48



Bravo, tu es validé !

Te voilà validé, prêt à RP parmi nous !

Tu intègres la classe 2B, et tu as la chambre n°6, au 2ème étage. Tu peux d'ores et déjà aller découvrir ton emploi du temps ici !
N'oublie pas d'aller recenser ton avatar juste dans ce topic.

Tu peux également aller faire ta fiche de liens, te lancer dans la grande aventure de la chronologie.

N'hésite pas non plus à venir consulter les nouveautés, toujours affichées sur la PA et détaillées juste ici.

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With shadows floating over. The scars begin to fade - William.

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