Carte d'identité

Âge: 25 ans Date de n.: 21 mai 1988 Sexe: non-binaire Sexualité: ??? Profession: assistant d'éducation (surveillant scolaire)

Taille ▬ 187cm Poids ▬ 85.2kg Couleur d'yeux ▬ marrons Couleur de cheveux ▬ bruns foncés naturellement ; décolorés et recolorés dans un rose assez clair Intolérances, allergies ▬ allergie à l'insuline Signes distinctifs ▬ Plusieurs piercings aux oreilles mais qui restent relativement discrets

Caractère

Les rires trop forts dans les couloirs alors que vous vous concentrez sur votre affreux contrôle d’arithmétique, le mouvement rose furtif au bout d’un couloir qui suit un bruit de piétinement et qui emplit le couloir de cris, c’est toi. Non ça n’est pas un de vos camarades qui fait des siennes mais bien celui qui passe son temps à vous rappeler qu’il n’est pas « pion » mais « assistant d’éducation ».

Tu es plutôt amical au premier abord, n’hésitant pas à blaguer un peu pour détendre l’atmosphère. Mais tu ne sais pas vraiment faire la balance entre l’attitude particulièrement que tu sais adopter quand tu dois surveiller une colle ou le couvre feu que lorsque tu réprimandes dans les couloirs ou les dortoirs. Toujours trop ou pas assez, ou avec un équilibre des deux bien trop bancal. Tu ne sais pas si tu te fais respecter pour ton sérieux ou ta détente, tu te demandes même si tu te fais respecter tout court parfois.


En dehors du travail tu relâches la pression. Que ce soit tes jours de repos où lorsque le couvre feu est assuré tu redeviens la personne relâchée qui traîne un  peu des pieds et salue silencieusement d’un sourire ou d’une main ses collègues. Les pieds souvent rangés sous toi et les mains enfouies dans tes poches, lorsqu’un moment de calme se présente, tu chausses des lunettes avant de t’installer sur un fauteuil un gros bouquin à la main.

Histoire

Tu es l’un des rares gamins qui connait le minuscule village comme ta poche. De ceux qui dévalaient la grande rue à toute jambes en hurlant, puis sur un vélo la voix un peu plus grave et quelques années après sur un scooter plus que bruyant et chargé pour aller s’amuser un peu loin de ce « trou paumé sans vie plein de vieux ». Pas un enfant rebelle non plus, plutôt de ceux qui se laissaient facilement entrainer vers l’inconnu malgré les supplications et sanctions parentales. De ceux qui profitaient des week-ends pour aller le plus possible en ville par n’importe quel moyen. Mais aussi l’un des rares qui ont finit par revenir. Après une escapade de quatre ans à la ville pour faires tes études et quitter ce que tu considérais comme un bled paumé. Et on ne pouvait pas t’en vouloir par ce qu’ici rien n’était très prometteur, rien n’était gage d’avenir pour la jeunesse. Même si le projet faisait déjà écho dans le petit village, l’avenir semblait ailleurs.

Après un essai infructueux dans des filières diverses tu t’en es retourné un peu honteux chez des parent qui pensaient pouvoir enfin profiter d’une retraite paisible dans un bourg oublié. Tu as retrouvé ta chambre de la petite maison qui borde l’artère principale. La petite fenêtre aux volets qui grince donnant sur un jardin toujours aussi bien entretenu par le couple qui passe désormais plus de la moitié de son temps à en prendre soin. Le petit potager ou tu tentais petit en vain de faire pousser des tomates prend maintenant plus de la moitié de la surface totale du terrai, comporte une minuscule serre et s’étend en végétation et couleurs luxuriante quand la saison apporte légumes et fruits.

Ta chambre d’ado abandonnée à recouvert de nouvelles couleurs. Les posters des groupes de musique se sont un peu diversifiés et ton obsession pour certains groupes s’est heureusement estompée, pour le plus grand soulagement de tes parents. Les consoles de jeux son restées, des nouvelles se sont ajoutées. Les conflits familiaux se sont lissés voire estompés, surtout depuis que tu as su trouver un poste à Wentworth.

Cela fait maintenant deux ans que tu travailles pour l’établissement et que tu as su t’y faire une petite place confortable. Tes habitudes bien ancrées tu connais le prénom d’une bonne partie des élèves. Tu ne rentres chez tes parents que rarement même s’il t’est assez facile d’y faire un tour quand tu as des jours de repos.

Dernier mot?

Âge ▬ Vieux. D'où tu viens ? ▬ De la fin du monde ! Comment t'es arrivé là ? ▬ J'ai été traîné de force ! Et le code magique ? ▬ C'est des bonbon, ça non ?  Chomp étou. Blablation ? ▬ Tu m'aimes, hein ?