Carte d'identité

Âge: 16 ans Date de n.: 5 mai 1998 a dit le certificat . Sexe: Mâââle Sexualité: Hétérosexuel. Profession: Elève. C’est déjà pas mal

Taille ▬ 190 cm Poids ▬ 71km Couleur d'yeux ▬ Bleu .C’est probablement cela qui a conduit à son abandon étant bébé. Couleur de cheveux ▬ Noir Intolérances, allergies ▬ Aucune. C’est qu’il est en pleine santé ce garçon. Signes distinctifs ▬ Sa peau basané ? Ou qu’à 16 ans, il dépasse ses camarades pourtant en pleine croissances d’une tête (et qu’il n’a pas fini de grandir. En plus). Ou bien qu’il soit toujours très propre sur lui, excepté la pulpe de son index et de son majeur gauche, c’est les marques des croquis au fusain ou de la craie d’art multicolore avec laquelle Llew transcrit son monde en image, ses idées, son imagination. Ses bleus sur les jambes, dues à sa pratique régulière de l’équitation, surtout en dressage. Le fait qu’il réponde à la fois à son prénom gallois (Llewellyn) et à son prénom turc (Arslan) sans faire de différence. D’ailleurs, les deux prénoms signifient la même chose : Lion. Il le parle d’ailleurs un peu, le turc. Mais parle beaucoup mieux l’anglais .De toute façon, les langues, ce n’est vraiment pas son truc.

Caractère

Pour comprendre Llewellyn, il faut connaitre cette peur qui l’habite, depuis qu’il a une dizaine d’années. Une peur qui s’insinue dans les moindres de relations humaine, sauf peut-être avec celle qu’il entretient avec sa petite sœur. Parce que malgré son jeune âge, sa langue est déjà acérée. Parce qu’il ne peut rien y avoir de mauvais dans ses grands yeux bleus. Ou peut-être parce qu’elle est comme lui. Adopté. Pièce rapportée qui s’intègre de toutes ses forces et qui se demande bien ce qu’il peut faire de plus pour qu’on l’accepte et qu’on le considère comme un égal. Alors Llewellyn ne dit jamais franchement ce qu’il pense. Il a peu confiance en lui de toute façon .Docile, il accepte, laisse passer. Il fait ce qu’on lui demande, il fait de son mieux à l’école. Pour ne surtout pas décevoir ses parents. Ses parents d’adoptions mais pour lui, c’est son père et sa mère, il n’y en a pas d’autre. Pour eux, il a fait du piano de ses cinq à quatorze ans sans jamais râler. Jusqu’à ce que sa mère s’en aperçoive. Oui, Ithel et Siani lui ont donné l’éducation d’un jeune homme de bonne famille. Musiques, arts, sport, tout y est passé. Par chance, pour le sport, cela s’est beaucoup mieux passé, Llew a beaucoup aimé l’équitation, surtout le dressage qui demande une certaine rigueur sans que cela soit aussi impressionnant que le C.S.O ou le cross. Il continue à en faire occasionnellement, avec son entrée au pensionnat l’année dernière, il n’a plus été possible de le pratiquer aussi régulièrement qu’auparavant. Mais cela reste une plaisir, comme le dessin. Il aime particulièrement le fusain et la craie d’art, ces grandes plages de couleurs qu’il étale allégrement avec ses doigts sur ses blocs de papier canson. Il aime traduire son univers et ses rêves en noirs et blanc et en couleur. Ce doit être le seul endroit où il est franc, où il n’a personne à décevoir. Dernière chose, Llew aime tout ce qui est mignon.  Sa dernière lubie est sa collection d’alpacasso qui grandit au fur et à mesure de son argent de poche et de ses visites sur EBay.

Vous avez lu tout le paragraphe précédent ? Bravo. Et bien maintenant, il va falloir tout oublier. Parce que ce Llew là, à part sa famille proche et un nombre restreint d’amis tout aussi proche, personne ne le connait. Même pas ses petites amies successives (il n’en a pas eu beaucoup mais les relations ne durent jamais trop longtemps, elles sont volatiles) n’ont pas eu vent de cinq pour cent de ce que je viens de vous raconter. Non, pour vous, Llew, c’est ce bon copain, élève bosseur, bien intégré, avec un désamour réciproque avec l’apprentissage des langues (C’est de la faute du vocabulaire, il y en a trop), pas sportif mais qui ne dit jamais non quand il s’agit de taper dans un ballon, qui suit dans toutes les sorties, un peu froid mais gentil, terriblement serviable, qui se débrouille pas trop mal de ses dix doigts et qui n’aime pas médire. Bon par contre, il n’a pas pu planquer son Arachnophobie longtemps, donc ça tout le monde est au courant. Mais sinon, il joue ce rôle de second plan, le bon copain, et il a l’air de s’y complaire, sans jamais se mettre sous la rampe des projecteurs. Un petit personnage dont au final peu de genre connaissent les gouts et les aversions. Un être un peu transparent.

Histoire

Avant de s’appeler Llewellyn, Llew s’est appelé Arslan. Jusqu’à ses quatre-cinq ans, dans cet orphelinat de Cappadoce où le couple Cadwallader  est venu pour l’adopter définitivement. En fait, il était leur pupille, par le biais d’une association caritative, depuis ses six mois. De ses parents biologiques, il n’a absolument aucun souvenir. Les dames en charge de l’orphelinat ont spéculé qu’il avait peut être abandonné à cause de ses yeux bleus. Il n’y a jamais vraiment cru. Certes, les yeux bleus ne sont pas très courant dans cette partie du monde mais ils existent quand même et ne sont victimes aucune superstition. De toute façon, les gens qui ont payé pour son éducation, cela a toujours été les Cadwallader. De même qu’ils lui ont toujours envoyés des lettres qu’on s’efforçait de traduire dans sa langue natale. Lui se demandait pourquoi ces gens de très très loin s’intéressaient à lui. Puis il a arrêté de se le demander en se disant que c’était sa deuxième chance et qu’il fallait l’attraper sans se poser de question. Alors, quand on lui a dit qu’ils allaient l’adopter, Arslan s’est fait des plans sur la comète. Cela allait être génial. Il allait partir, voir du pays et rencontrer ces gens formidables .Mais une fois arrivé au pays du Galles il a un peu déchanté. Présentons ces parents d’adoption.

C’est un couple extrêmement aisé de Cardiff, qui ne peut pas avoir d’enfant pour des raisons médicale .Ithel Cadwallader est un galeriste d’art contemporain qui voyage entre New York, Londres, New Dehli et Cardiff. Souvent occupé et pas mal en vue, son affaire se porte bien et ajoute au pécule de ses rentes familiale. Siani Cadwallader, née Yates, est, elle, un auteur en vue dans le roman adolescent, sous le pseudonyme de Ceri Morris. Elle travaille essentiellement chez elle. Seulement, ni Siani, ni Ithel  n’ont de manière innée la fibre parentale face à ce petit bout de chou qui les observe de ses grands yeux bleus. Il ne réclame rien, on lui a appris à ne jamais rien réclamer. Une barrière invisible se forme entre les deux camps. Pourtant Siani et Ithel font tout ce qu’ils pensent juste et nécessaire pour leur enfant. Ils embauchent une gouvernante bilingue pour l’adaptation, on lui donne l’éducation d’un gamin de bonne famille. Le gamin accepte sans trop ciller son changement de prénom, son prénom turc passant en seconde position, pour un prénom plus … gallois, tout en lui expliquant que les deux noms sont équivalents, ils veulent dire la même chose. Mais plus le temps avance, plus les parents sont maladroits. Cela crée une brèche, une crainte chez Llew qui fait pourtant tout pour leur plaire.  Mais cette brèche, tellement visible, le reste de la famille Cadwallader va s’y engouffrer. Parce que pour eux, cette adoption, c’est une part en moins dans l’héritage de la fortune. Leurs paroles, aux réunions de famille régulière s’insinuent dans son esprit. Pièce rapportée, enfant adopté.

S’en suivent cauchemars multiples, crises de paniques en tout genre qui désarçonne grandement Siani qui prend conseil auprès de sa seule famille encore en vie, sa mère, la fameuse Ceri de son pseudonyme. Oh, il ne faut pas grand-chose à Ceri pour déterminer ce qui ne va pas dans la tête du gamin et à aider sa fille et son gendre à rattraper le coup. Mais Llew a déjà douze ans, et douze ans, c’est très long dans l’histoire d’un enfant. La tendresse qui se faisait attendre arrive plus présente que jamais. Llew se souvient de sa préadolescence comme de souvenir bien meilleur que son enfance. Et puis, il y a Vivian, ce petit bébé, cette petite sœur à la peau si blanche. Adoptée, comme lui. On avait dit à Siani que cette adoption aurait dû mettre mal à l’aise Llew, que ce dernier se sentirait remplacer et flouter mais c’est bien tout le contraire. Le garçon la protège de ceux qui lui ont fait si mal auparavant. Il sait et devient plus bavard, ce qui permet à Ithel de rectifier le tir très vite

Puis arrive le temps du collège anglais. On en parle longuement et il est choisi que Llew irait à Wenworth. Bon collège, coin paumé et calme, loin des langues de vipères. A ce jour, il a déjà survécu à sa première année et sa seconde année ne s’annonce pas trop mal. Ses contacts avec sa famille sont réguliers et il rentre presque tous les week ends chez lui .

Dernier mot?

Âge ▬ 22 ans D'où tu viens ? ▬*pointe les admins du doigt* Comment t'es arrivé là ? ▬ *pointe les admins du doigt*² Et le code magique ? ▬ Chomp. Blablation ? ▬ Je n’ai qu’une chose à dire . Njut . (et je t’aime ma loutre d’amour <3) Njut ma loutre. ♥ Rooh m'enfin, ton Alzheimer, Bison